Grâces reçues par l’intercession de la Vierge d’Ardouane
TĂ©moignage 2010

Cela faisait longtemps que je ne pratiquais plus les Sacrements de l’Eglise. Pour tout dire, je ne souhaitais plus fréquenter cette institution dans laquelle je ne me reconnaissais plus vraiment. Petit à petit, et cela même si je pensais garder un contact avec le Ciel, ma foi se dissolvait invariablement.

Cette crise profonde me vidait de tout sens à l’existence. Il faut dire que depuis mon plus jeune âge, et de famille catholique, j’ai toujours vécu dans le respect des traditions et des sacrements.

Lorsqu’il y a trois ans de cela, je croisais par le plus grand des hasards l’association de Marie, celle-ci recherchait quelqu’un susceptible de travailler sur le livre de transcriptions des messages.

J’ai ainsi découvert les textes des messages de la Vierge reçus par M. Emanuel. J’ai été touché au plus profond de mon âme par cette Espérance formidable, cet amour inconditionnel de Dieu pour les hommes que je retrouvais enfin. J’entendais de nouveau l’Amour et la Paix toujours prônés par le Christ.

De message en message, Marie m’a ainsi pris par la main, moi le pauvre, le petit, qui ne se sentait plus digne de la Miséricorde.

Chemin faisant, je reprenais confiance en l’Eglise. Puis, au cours du pèlerinage en Italie, j’ai pu retrouver la paix profonde dans le Sacrement de Réconciliation et dans l’Eucharistie.

J’ai reçu depuis des grâces incalculables. Il m’est donné de sentir les parfums, d’apprécier la paix intérieure. J’ai rencontré des personnes extraordinaires et vis une aventure hors du commun.

La tache est immense et les ouvriers peu nombreux. Mais les grâces et les promesses sont à la hauteur du chemin à parcourir.

Je ne puis aujourd’hui qu’inciter les gens que je rencontre à lire les messages et se laisser toucher par ces paroles d’Amour et de Paix, se laisser envahir par la douce fraicheur de l’eau vive qui jaillit du Cœur de Christ, la Miséricorde infinie du Père, la sagesse de l’Esprit et le tendre sourire de Marie qui nous accompagne sur la route parsemée de pétales de roses.

Je ne puis que les inciter à la prière et à l’ouverture envers autrui, vraie source de joie et de rencontre avec le visage de Celui qui a pris notre humanité.

Je ne puis que les inviter, alors même que le monde pris par le matérialisme et la soif de néant est en pleine déroute, à trouver en eux la vraie Paix, cette sérénité et cette confiance d’un monde meilleur, promis par Dieu le Père.

Frédéric